Natacha, La Belle-SUr Russe - 1/2
Avertissement
Lhistoire qui suit peut être très justement considérée comme une histoire de bistrot. Elle ma été
racontée par un homme la soixantaine bien sonnée qui buvait seul à la terrasse dun bar-
restaurant dans la petite station balnéaire du Figuier, à une cinquantaine de kilomètre à lest
dAlger. Javais mes habitudes dans cet établissement dans lequel, je venais souvent mévader pour
regarder la mer et boire quelques bières avec des amis.
Ce jour-là, jétais seul. En arrivant - vers quatorze heures, bien plus tôt quà mon habitude -
javais remarqué un homme seul, attablé devant les restes dun repas et sirotant un ballon de vin.
Je ne sais pas trop pourquoi, mais javais été immédiatement attiré par cet homme : peut-être parce
quil était seul ; peut-être parce quil avait lair un peu perdu ; peut-être aussi parce quil
semblait totalement plongé dans des pensées qui ne devaient être toutes roses. Je voyais quil ne
sintéressait à rien dautre quà ses pensées et au contenu de son verre de vin quil sirotait
lentement. La mer, qui pourtant, était dune beauté à couper le souffle, ne semblait pas
lintéresser.
Je vins massoir à la table à côté de la sienne et ne put mempêcher de le questionner sur la
qualité du vin quil buvait.
- Il est vraiment divin ! Je vous le conseille ! Vous men direz des nouvelles ! Dailleurs
vous pouvez le goutter immédiatement !
Et sans autre forme de procès, il remplit un des verres à vin non utilisés qui se trouvaient sur sa
table, le remplit à moitié et me le tendit.
- Goûtez-moi ce nectar !
Et effectivement, il était délicieux. Moi qui ne suis pas un grand buveur de vin je préférais la
bière je commandais, à la grande surprise du serveur qui connaissait mes goûts et qui était sur
le point de me servir ma bière préférée, la même bouteille de vin que mon voisin.
que senclencha entre Alilou et moi, la discussion qui lamena, au bout dune heure environ, à se
lancer dans la narration de lhistoire qui va suivre. Je nen ai pratiquement rien changé, si ce
nest quelques broderies concernant les scènes sexuelles que la pudeur de lhomme empêchait de
décrire.
Je nen garantis pas la véracité totale de lhistoire peut-être que les vapeurs dalcool ont pu
déformer quelques unes des scènes racontées mais je suis convaincu que laventure dans ses grandes
lignes et même dans la plupart de ses détails est véridique.
Au lecteur den juger.
Gérache
Quand Natacha (tout le monde, son mari en premier, lappelait toujours comme cela, alors que ce
nétait que le diminutif de Natalia son véritable prénom) mapparut pour la première fois cétait
au début de lété 1969 - je reçus une espèce de gifle, tant elle était belle et bandante. Elle était
fièrement accrochée au bras de Djaffar mon grand frère. Ils venaient de débarquer de Leningrad
(lactuelle Saint Petersburg) en Russie Alors URSS - où il venait de terminer des études
dingénieur et où il avait rencontré et épousé Natacha.
Javais immédiatement flashé sur elle; bien que je comprisse, tout aussi immédiatement que jétais
entrain de franchir une ligne rouge en ayant de mauvaises pensées envers celle qui était ma belle
sur, la femme de mon frère. Mais aucune force au monde naurait pu mempêcher dadmirer cette belle
plante que le hasard avait transformé en ma belle-sur et avait transporté en Algérie, dans la
maison de mes parents.
Elle était excessivement belle; une vraie beauté slave : grande, blonde, plantureuse à souhait, avec
des rondeurs à faire bander un aveugle et
le nez en trompette, si caractéristique des slaves.
Javais toujours trouvé que les nez retroussés dépareillaient les visages des femmes et les
enlaidissaient.
des pommettes saillantes, une grande bouche gourmande entourée de lèvres admirablement ourlée et
pleines. Elle avait aussi un menton nettement dessiné, donnant à la femme une très forte impression
de volonté et de vigueur. Elle avait aussi un long cou gracieux, blanc et lisse, négligemment posé
entre deux superbes épaules larges et rondes. Et sa peau était lumineuse, dun blanc presque laiteux
et dont jimaginais quelle était dune douceur de soie.
Ils étaient venus habiter dans la grande maison familiale dAlger dans laquelle nous vivions mes
parents et moi. Mes parents avaient gardé la chambre de Djaffar et lavaient réaménagée pour quelle
accueille le couple. Il sy installa jusquau moment où mon père qui venait de terminer la
construction dune immense villa au village en Kabylie, et avait décidé dy emménager avec ma mère
et dy passer le reste de leur existence. Ils avaient laissé la maison dAlger sous la
responsabilité de Djaffar et de sa femme. Moi jétais encore trop jeune jétais encore lycéen -
pour pouvoir assumer la moindre responsabilité.
Tout le temps que mes parents étaient encore là, tout le monde vécut en parfaite harmonie. Enfin pas
si parfaite que cela, puisque dans la discrétion de mes nuits, la beauté aguichante de ma belle-sur
mavait amené très souvent à faire des rêves érotiques dans lesquelles elle était le personnage
principal. Je me réveillais baignant dans la sueur, avec le slip souillé. Au réveil, jen éprouvais
de la honte, tout en ayant en moi la bizarre impression davoir été très heureux dans mon rêve. Et
pratiquement toutes les nuits, je mendormais avec le secret espoir de rêver encore de Natacha.
/
Les choses avaient commencé à réellement mal tourner quand mes parents avaient déménagé et que je me
suis retrouvé seul face à Natacha.
Natacha avait été très discrète dans sa manière de shabiller à la maison ; elle ne portait que des
peignoirs ou des survêtements amples qui gommaient quelque peu ses formes aguichantes. Et même dans
son comportement avec son mari, elle évitait toutes formes dexhibition. Elle avait été certainement
briefée par Djaffar qui lui avait expliqué que la pudeur était une des règles de base de notre
société.
Mais dès le lendemain du jour où mes parents avaient quitté les lieux, le comportement de Natacha
devenait volontairement et pour des raisons, quaujourdhui encore jignore - de plus en plus
aguichant. Elle ne portait plus que des robes dintérieur très courtes, et très moulantes qui
laissaient entrevoir pratiquement tous ses appâts et quels appâts ! Plus grave encore, pour mes
sens à fleur de peau, elle était devenue très bruyante quand elle faisait lamour avec son mari.
Elle ne me laissait absolument rien ignorer de tout ce quils faisaient au lit son mari et elle.
Elle parlait (la plupart du temps en russe !) et criait de manière à ce que jentende absolument
tout. Javais le sentiment quelle le faisait exprès pour que jentende tout. Et que cela navait
dautre but que de mexciter et mettre mes nerfs à fleur de peau. Jentendais son mari beaucoup
plus discret lui demander de baisser la voix pour ne pas être entendue, mais cela ne produisait
aucun effet, sinon un effet pervers qui la faisait crier encore plus fort. Je ne comprenais pas
pourquoi elle faisait cela ; pourquoi elle aimait mexciter comme cela. Mon frère était beaucoup
plus beau et plus fort que moi. Il savait certainement mieux faire lamour que moi, qui était encore
un novice en la matière ; presque un puceau.
Je me disais quil sagissait chez elle dun jeu pervers quelle jouait pour mexciter et mamener à
penser à elle autrement que comme une parente intouchable.
comme à une femme fatale, un symbole sexuel, auquel je ne pouvais plus penser sans avoir envie
delle. Et de fait, je passais presque toutes mes nuits à me masturber énergiquement, en pensant à
elle ; rien quà elle. Javais bien essayé quelques fois de penser à une autre femme une copine de
classe, une belle cousine à qui je faisais la cour, ou même une vamp de cinéma rien ny faisait ;
Natacha revenait obstinément occuper mes pensées. Et même quand je mendormais, cétait encore elle
qui venait squatter les rêves érotiques que je faisais à profusion.
Et les draps du lit portaient invariablement les stigmates de mes rêves érotiques et de mes
masturbations effrénées. Chaque matin, honteux, je mettais les draps dans la machine à laver,
espérant que Natacha, avant de la mettre en marche nallait pas les en sortir pour admirer les
traces de souillures qui lui prouveraient le pouvoir quelle avait sur moi. Mais jétais convaincu
quelle le faisait systématiquement et quelle jubilait en voyant le résultat de ses machinations
machiavéliques.
En effet, javais souvent remarqué quelle me regardait avec un sourire ironique et un regard en
coin provoquant. Je ne savais absolument pas comment me comporter avec elle. Chaque fois que je
pensais à elle, je bandais comme un âne. Et jen avais honte. Et puis, goutte deau qui avait fait
déborder le vase du moins en ce qui me concernait un matin, après le départ de mon frère pour
son travail, elle était venue me provoquer dans ma chambre, vêtue dune toute petite tenue je me
appelle encore aujourdhui de cette nuisette violette et transparente qui laissait absolument tout
voir de son merveilleux corps.
Dans son français encore approximatif elle mavait dit quelle sennuyait à ne rien faire de toute
la journée. Elle ne mavait pas dit directement quelle cherchait à avoir une aventure avec moi
mais, tout jeune et naïf que je fus, je savais quil ne pouvait sagir que de cela. Javais une
folle envie de céder à mes plus bas instincts : je voulais faire lamour avec cette femme. Je
voulais la tirer comme une chienne. Je connaissais pour lavoir entendue presque toutes les nuits,
crier son désir et son plaisir à son mari, combien elle était chaude et combien elle adorait se
faire tirer en puissance. Je lavais entendue gémir et hurler de plaisir tant de fois que je
connaissais absolument tout ce quelle aimait faire et quon lui fasse quand elle faisait lamour.
Jétais convaincu que jétais en mesure de la contenter et de la faire jouir au moins aussi bien que
mon frère.
Mais, je narrivais pas à oublier quelle était la femme de Djaffar, mon frère, et quil métait
moralement interdit de faire quoi que ce soit avec elle. Pas même en pensée. Je me levai donc dun
bond. Je dormais toujours torse nu et en pantalon de pyjama et je savais quelle ne pouvait pas ne
pas avoir vu à la bosse indécente que faisait mon sexe sur le devant du pantalon de pyjama que
je bandais très fortement pour elle. Je me sauvai littéralement vers la salle de bain, pour y
prendre une douche très froide pour me calmer et je revins en vitesse dans ma chambre pour y
chercher de quoi mhabiller. Natacha était encore dans la chambre, assise sur le bord du lit, les
jambes écartées pour me montrer quelle navait même pas mis de culotte et quelle était en chaleur.
Elle avait un sourire ironique sur les lèvres. Je ne pus mempêcher de regarder cette superbe
chatte, offerte à mon regard dadolescent encore boutonneux, que je voyais briller et palpiter sous
mes yeux exorbités. Je navais encore jamais rien vu de plus beau. La seule chatte que je voyais
assez régulièrement était celle de la petite amie que javais à cette époque. Mais elle navait rien
de comparable avec la vulve, longue, brune et totalement épilée de Natacha. Celle de ma petite amie
était encore une chatte de jeune fille, cachée totalement par sa toison noire et drue.
- Pourquoi toi fuir Natacha ? Pourquoi pas vouloir faire amour avec moi ?
- Tu es la femme de mon frère ! Je ne peux pas baiser ma belle-sur !
- Toi vouloir baiser ! Toi bander très fort ! Toi vouloir chatte Natacha ! Regarde ! Très
belle ! Très mouillée ! Viens !
Je ne sais toujours pas doù javais pu tirer la force de résister à mes pulsions sexuelles. Je
voulais vraiment lui faire lamour; autant pour la satisfaire, elle, que pour prendre mon plaisir en
elle. Javais ressenti cet appel à venir la tirer comme une prière : javais ressenti chez elle
comme un besoin irrépressible de faire lamour, pour éteindre un incendie qui était entrain de la
consumer. Elle avait vraiment besoin dun homme pour lemmener vers les plus hauts sommets du
plaisir sexuel. Je plaignais secrètement mon frère qui narrivait pas à satisfaire complètement sa
femme. Peut-être me dis-je que Natacha était une nymphomane et quil était impossible à un homme
normalement constitué de la satisfaire. Javais recommencé à bander très fortement. Mais ma
conscience prit le dessus : je ramassai en vitesses mes habits qui traînaient à côté de mon lit,
retournai dans la salle de bain pour mhabiller à labri du regard de Natacha et quittai
précipitamment la maison.
Depuis, je vécus un véritable enfer pour mes sens. Je narrêtais pas de penser au corps et à la
chatte de Natacha, dont limage était restée profondément gravée dans mon esprit. Je bandais presque
en permanence et ne trouvais de repos que dans la masturbation effrénée, en ne pensant quà la femme
de mon frère. Mes draps étaient constamment souillés et je devais les changer quotidiennement. Je
continuais à les jeter chaque matin dans la machine à laver le linge, tout en sachant que cétait ma
belle-sur qui la ferait marcher, et quelle découvrirait ainsi chaque jour combien, elle mexcitait
et combien javais, encore et toujours, envie delle.
Jévitais de me retrouver seul avec elle et je sortais très tôt le matin en même temps que Djaffar
et ne rentrais que tard le soir. Je vécus ainsi toute une année lannée du bac jusquau moment
où je partis en France faire des études dingéniorat. Pendant toute cette année, javais fait en
sorte de ne jamais me retrouver seul avec Natacha. Je navais donc pas eu à réprimer mon désir de
la sauter. Mais cela ne mempêchait pas de penser constamment à elle et de ressentir un désir de
plus en plus fort pour ma belle-sur. Cela devenait parfois insoutenable.
A lépoque javais une petite amie une lycéenne comme moi qui me trouvait à son goût et avec
laquelle je flirtais beaucoup. Chaque fois que cela était possible (quand elle acceptait de mamener
chez elle, en labsence de ses parents) jessayais de prendre un peu de plaisir en la caressant et
en éjaculant sur elle, après une séance de pinceau (une sorte de masturbation de la chatte de la
fille avec mon engin) et une fellation denfer. Mais le plaisir, réel, que je prenais avec ma petite
amie narrivait pas à chasser de mon esprit limage de la superbe chatte de Natacha et ne me
satisfaisait que très imparfaitement. Elle était toujours présente dans mon esprit et continuait à
mettre le feu à mes sens.
Natacha était entretemps tombée enceinte et avait mis au monde deux mois à peine avant que je ne
parte en France un petit garçon. Deux années plus tard, jappris quelle venait de donner
naissance à un deuxième bébé : cette fois-ci, cétait une fille.
/
Je passais en en tout huit ans à Toulouse, en France, où je poursuivis des études dingéniorat en
génie chimique qui me menèrent jusquau doctorat. Toutes ces années là, javais petit à petit oublié
Natacha et le désir fou den faire ma maîtresse quelle avait mis en moi. Les études, ainsi que les
quelques petites amies que jeues au cours de toute cette période, mavaient progressivement éloigné
de mon obsession pour ma belle-sur. Elle était devenue une espèce dimage floue dans ma mémoire,
sans pour autant avoir totalement disparu.
Une fois mes études terminées, javais décidé de rentrer au pays malgré les réelles possibilités
qui métaient offertes dintégrer un laboratoire de recherche à lUniversité de Toulouse. Mais il me
fallait, avant dintégrer luniversité de Bab Ezzouar où un poste intéressant denseignant chercheur
mattendait, que je passasse mes deux années obligatoires de service militaire, qui venait juste
dêtre institué. Pour je ne sais quelle obscure raison, je décidais de rejoindre directement
lAcadémie Interarmes de Cherchell, sans passer par la case maison. Jy passais les premiers
quarante-cinq jours sans une seule journée de permission (cétait la règle !). Et au bout de cette
période dacclimatation à la vie militaire, lEcole nous accorda quatre jours de permission qui
commençaient un mercredi soir et devait se terminer le dimanche suivant à minuit. Je décidais donc
de passer ces journées de liberté dans la maison dAlger.
Allez savoir pourquoi, je navais pas décidé de rejoindre mes parents en Kabylie ! Pour être tout à
fait honnête, au cours des quarante-cinq jours où jétais enfermé dans la caserne, sans aucune
possibilité de sortie, je me suis remis à penser à Natacha, que je sentais géographiquement proche.
Je métais remis à rêver delle. Cétait certainement leffet de labsence de relations sexuelles
pendant ces dures journées dinstruction militaire. Javais même fait avec deux camarades - le mur
un soir pour aller à la maison close de la ville, mais nous nous étions très vite fait attr par
la police militaire qui patrouillait autour de lendroit. Nous nous sommes finalement retrouvés au
trou (la cellule de la prison militaire de la caserne) pour huit nuits daffilée.
/
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!